Clara du Parc

Le Gang Bang est une expression anglaise. Elle définit une pratique sexuelle où une femme consentante entretient des rapports avec plusieurs partenaires.

On peut restituer à cette boulimie de mâles le terme "d'Amâtinage". A savoir une "vie de chienne" . Dès 1175, il fut nommée de la sorte, dans le droit fil des « caninae nuptiae » à la romaine...

La pratique du Gang Bang est donc tout aussi ancienne, que la plupart des femmes sont gourmandes. Messaline
ne nous contredira pas. En l’an 48 elle s’adonnait déjà aux joies du Gang Bang en compagnie d’une vingtaine de partenaires.

Dans les années 2000, le phénomène sort de l’ombre.
En club et lors de soirées privées, de plus en plus de femmes affichent ouvertement leurs passions pour la pluralité. Nombreuse sont les libertines à s’initier à la pratique. D’inavouable, le Gang Bang est devenu
tendance !

Le constat est amer. Du moins pour l’homme machiste. Le « sexe fort » n’est pas celui qu’on croit. Capable de multiples et trépidants orgasmes, nombres de femme apprécient ces jouissances sans cesse renouvelées de sensations et de vigueurs nouvelles.

Un seul homme ne peut pleinement les satisfaire. Certaines le font croire.
D’autre y croient …

Mais il n’est pas que l’aspect physique qui les attire. Cérébrales, certaines affichent l’amour du nombre. D’autres apprécient ces troubles instants et font peu de manière quand leur mari les offrent à quatre ou cinq amants.
Il est autant de Gang Bang que de fantasmes !

DOUBLE PENETRATION : La double pénétration est une pratique sexuelle où deux personnes pénètrent une femme simultanément, à la fois vaginalement et analement, à l'aide de leurs phallus ou de godemichets.

DOUBLE PENETRATION VAGINALE ou ANALE : On rencontre aussi la double pénétration vaginale où les deux phallus sont introduits dans le vagin de la femme et la double pénétration anale où les deux phallus sont introduits dans un rectum.

TOURNANTE : A ne pas confondre. Ce terme est donné à une forme particulière de viol en réunion. Un phénomène social dont on parle de plus en plus. Pourtant, ce phénomène ne s'est pas particulièrement développé depuis 1960, époque des « blousons noirs » à qui le même grief était souvent fait.

La plupart des Gang Bang se passent de façon feutrée. Une fille, quelques hommes. Certaines femmes cherchent l’exploit. Par provocation ou pour se
faire un nom dans le domaine du X.